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LES ARCHIVES DU FIGARO - À l’occasion des défilés de la Fashion Week virtuelle, revivons une journée dans les coulisses de la célèbre maison Dior en 1956.
La Covid a tout bouleversé: la crise sanitaire a conduit la Haute Couture à repenser les rendez-vous incontournables que sont les défilés. Un format inédit: 100 % virtuel et visibles par tous. Après la Fashion Week à Londres en juin, c’est au tour de Paris de se lancer dans les défilés online.
En 1956, les dessous des défilés sont mystérieux, Le Figaro publie dans ses colonnes une enquête de Célia Bertin dans le secret des maisons de couture. La romancière, couronnée du prix Renaudot, a passé plusieurs mois dans les maisons de couture: elle nous décrit l’univers du mannequinat, la création d’un modèle, les ateliers ou le métier de couturière.
Retrouvons l’effervescence d’une journée de défilé chez Christian Dior. C’est un véritable jour de fête, «une grande première qui a lieu avec les gens du métier.» L’équipe vit également l’angoisse de connaître la réaction du public.
Article paru dans Le Figaro du 5 janvier 1956
Une grande première: une féerie en 200 tableaux jouée devant un parterre de techniciens (30 millions, 3 mois de travail)
Comment ai-je commencé à fréquenter les maisons de couture? Je ne sais plus
July 07, 2020 at 12:32AM
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Le défilé Dior en 1956: une effervescence bien réelle - Le Figaro
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bien
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